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  • Photo du rédacteurChristophe MELQUIOND

« Je rêvais d’un autre monde »



J’entendais cela dans mon TELEPHONE en 1984,

et ce n’était surement pas le monde de George ORWELL.

Aujourd’hui, je regarde ce monde et je m’interroge sur son présent en envisageant son avenir.


Alors comment rêver ce monde ?


Un monde où l’humain est au centre des préoccupations, avec le souci du lendemain.

Un monde où notre environnement est protégé de nous-mêmes, pour la survie de toutes les espèces.

Un monde où l’écologie n’est pas une idéologie mais un principe de vie.

Un monde rempli d’authenticité, où les apparences, les faux-semblants, les mensonges n’ont plus leur place.

Un monde dominé par la gentillesse, où la bienveillance et le respect d’autrui sont à la base de nos interactions et de nos relations avec nos semblables et les autres espèces.

Un monde où chacun fait preuve d’ouverture d’esprit, de tolérance, de curiosité et d’acceptation des différences.



Un monde où le terme de minorité n’existe plus pour la grande majorité.

Un monde où la norme n’est plus, rien n’est normal, tout est naturel ; au diable la normalité !

Un monde où l’intelligence domine la désinformation, la sottise et la brutalité.

Un monde où personne ne se perd dans un égo surdimensionné de peur de plonger dans le néant.

Un monde où le temps est le bien le plus précieux pour l’être humain qui en possède si peu.

Un monde où chacun prend le temps d’avoir le temps, pour finalement en gagner.

Un monde où chacun possède le temps de nourrir ses essentiels dans la quête d’une harmonie individuelle.


Un monde où la reconnaissance des talents domine l’utilité mercantile de l’individu. Un monde où la confiance en soi et en l’autre est un fait établi, car la solitude nous isole et le collectif nous sauve.

Un monde où la richesse humaine est un trésor, où l’homme ne peut pas être qu’une ressource, qu’un numéro ou qu’un moyen.

Un monde où chacun a le droit au bien-être, grâce au progrès qui n’aurait pour objectif que la sauvegarde de l’équilibre naturel.

Un monde incontestablement utopique, dans lequel, si chacun endossait une seule de ses phrases, le monde tournerait incontestablement plus rond.


Je rêvais surement d’un autre monde, moins terre à terre, qui resterait un mystère, sans jamais vouloir tout foutre en l’air.


Hissons les voiles ensemble !

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